Je suis souvent gênée quand j'assiste aux evènements de Nicolas pour Spintank. Où est ma place ? Quelle devrait être ma posture ? Je vois des choses qui m'enchantent, d'autres me heurtent, qui suis-je pour en rendre compte ? A qui ?
Pourtant je continue à le rejoindre, à me réchauffer au rayonnement d'une entité à laquelle je participe de près-loin avec ma place particulière, et qui nous fait vivre sur de nombreux plans.
Mercredi 10 septembre, Nicolas présentait le nouveau Tank, l'immeuble magnifique et HUGE (5 étages) qui abritera l'entreprise à partir de décembre. L'entreprise et de nombreuses entreprises, puisque des postes sont ouverts à des indépendants. Ce qui m'a frappée ce soir-là, c'est l'engagement de l'homme avec lequel je partage ma vie dans ce LIEU. Son amour du lieu, l'espoir, les fonds, l'exigence de beauté, l'appel. En le regardant je me suis dit, peut-être pour la première fois de notre vie avec une telle force (non pour la seconde fois, la 1ère était son engagement au BDE d'HEC qui a été total) : il a trouvé quelque chose pour lui.
Ce qui m'a frappée aussi, ça a été la bonté de tout le monde autour, la contagion par la beauté du lieu et l'engagement de Nicolas. Moi aussi, j'ai eu soif de beauté et de m'engager.
Je vous engage à lire ce texte où j'ai découvert mon homme tel que je ne l'avais jamais vu.
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Pauline Baste-Morand est ma cousine par Nicolas (la cousine de mon beau-père, la fille de la petite soeur de ma belle grand-mère Mane chérie). D'eux, elle partage l'amour des lieux, la primauté du lieu (espace, lumière, harmonie). Le lieu beau comme condition première pour créer quelque chose qui en vaille la peine.
C'est chez elle, vous vous en rappelez, dans son atelier-maison à Malakoff, que j'ai voulu animer la première promo de mon CCA, et ce lieu m'a portée, inspirée, a charmé les participantes dont une a même décidé de déménager à Malakoff quelques mois avant nous.
Tout ça pour vous dire que
Le Tank accueille des coworkers à partir de décembre. Allez voir ! Réfléchissez ! pour un jour, un mois, 6 mois, plus longtemps, ça va être un endroit inspirant et vivant.
et que Pauline ouvre les portes de son atelier de sculpteur les 26, 27, 28, 29 septembre prochains. Donner à voir et à toucher, j'adore le titre de cette expo.
ALLEZ Y de ma part ! Le quartier vaut la peine, les sculptures valent la peine, l'atelier est sublime, Pauline... ben c'est Pauline, je l'aime beaucoup.
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A mon tour de demander quelque chose pour moi.
Guidée et protegée que je suis, j'ai trouvé comment étoffer, nourrir, incarner mon livre sur la joie ET cela remet une grosse couche de chantier dans le bousin. J'en ai encore pour je ne sais pas combien de temps et j'ai confiance et j'ai peur.
La clé pour moi est d'y travailler chaque jour, même 5 minutes.
Et de me sentir soutenue - car on ne crée pas seul. Y'a qu'à regarder la volumineuse correspondance de Flaubert, ou la manière dont Rimbaud et Verlaine se sont mutuellement inspiré avant de se battre, ou la liste des remerciements dans les livres de Julia (impressive list). Bref ma demande à vous mes chéries-chéris, est de prières. D'encouragements. De petits mots. De tout ce à quoi vous penserez et qui vous semblera juste pour me soutenir.
J'en ai déjà reçu plusieurs ces derniers jours - merci Nico, Guillaume, Christophe, Christophe, Emmanuel - bah oui, des hommes, aaah, ça fait du bien de revoir des hommes dans mon univers !
Je compte sur vous. J'ai le profond désir, et le besoin spirituel et financier que ce livre soit écrit et publié.
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Oh oui mon Nico, ma chère Pauline, et Fanny, et Emma, et Anne-Liesse (moi je l'aime tellement le liesse de ton prénom... comme un appel, un rappel, même et surtout quand tu ne le sens pas...), et Cenina, et Anne-So, et Sandra, et Marijo, l'engagement est contagieux ! Fréquentons des personnes passionnées !
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