Je n'étais ni contente, ni pas contente de les quitter pour l'été, l'un en juin, l'autre en juillet. Et c'était booon hier de retrouver André et le groupe de supervision de coaching, et Mihn et notre cours de yoga. Manque à l'appel, mon curé-adoré-parti-éclairer-une-autre-paroisse mais il m'a aussi hier écrit un petit mot pour me donner de ses nouvelles.
Parfois, je m'énerve moi-même, d'être aussi "patricarcale". D'avoir besoin d'hommes pour guider ma vie, pour m'aider à vivre ma vie. L'avis d'hommes, l'aplomb d'hommes, le tutorat d'hommes.
Je me rêve amazone ?
Et depuis que j'ai revu mes deux maestros, et je pense au troisième, mon Padre au loin (enfin, aux confins du département), depuis que j'ai revu mes deux maestros ça circule mieux dans mon dos, et ça circule mieux dans mon être. J'ai ouvert les fenêtres de mon être, à ces 3 hommes-là et leur parole et leurs propositions font voler les papiers entassés là depuis trop longtemps, dépoussièrent la surface de mes meubles.
Elan, confiance.
Non, on ne peut pas tout, toute seule.
Merci mes maestros.
Ben non :-)
Pourquoi n'aurait-on pas besoin des hommes?
Pourquoi eux seuls auraient besoin des femmes ;-)?
Rédigé par : Mayou | lundi 19 septembre 2022 à 17:06