Ce n'est pas une fatalité.
Le nécessaire accordage.
Tout à coup je me demande - que suis-je "en droit" d'attendre de la vie ? de ma vie en couple ? de mon couple ? de mon partenaire ? de l'amour ?
La supervision que j'ai commencée en février, soit-disant pour le boulot, nous mène dans une voie psychanalytique. C'est-à-dire qu'on y nomme les transferts, les lapsus, les rivalités, les difficultés affectives et professionnelles et d'argent, on parle aussi de supporter notre corps, et de nos parents, et de nos conjoints, et du désir, et bien sûr, sans passage à l'acte.
J'apprends petit à petit à aimer le groupe (c'est-à-dire à compter sur lui, à apprécier les individualités de chacun) ; à faire confiance au "patron de la nichée" ; et à regarder évoluer mes frontières que je croyais plus fermes, et que je découvre floues.
Cet après-midi, je ne sais plus comment je m'appelle. Cet après-midi, je pourrais signer pour trois séances par semaine, à raison d'une demi-heure et soixante euros la séance.
Et bien sûr, pour le moment, je ne passe pas à l'acte.
Ce n'est pas une fatalité.
La nécessité de s'accorder.
Comme elles m'activent ! et me ravivent ! et moins seule ! les paroles de notre "premier de nichée". Et appartenir à ce groupe de supervision, de pairs professionnels.
Bon après-midi, mes chéries-chéris !
les supervisions et séances individuelles m'ont tjrs énormément aidée et élargi mon horizon, tu as raison on se sent moins seule, j'ai tjrs eu plus de mal avec les séances de groupe, ce n'est pas mon truc.
J'attends de retrouver un peu plus d'aisance financière pour reprendre, ça me manque
bon week Christie
Rédigé par : sylvie | vendredi 09 octobre 2020 à 20:45