Comment trouver de la place pour l'écriture dans la fébrilité de la semaine d'avant le départ en vacances ? Cette semaine où "tout" se débloque, où "tout" doit trouver une solution, cette semaine où "tout le monde" m'écrit après des mois voire des années voire des décennies de silence ?
Illusion de la date butoir qui résoudrait tout, qui précipite l'action avec son lot de stress et de stimulation. Pour certains de mes stagiaires en gestion du temps cette date butoir des vacances est un cauchemar, moi elle me stimule plutôt - m'aide à prioriser, je travaille avec des ailes, mes questions trouvent plus vite leurs réponses.
Comment trouver de la place pour écrire dans ce climat fébrile ?
Commitment, my friends.
Hier soir sur le bord de la Seine j'ai écrit et médité, médité puis écrit puis médité les quatre parties de la prière universelle pour Pâques. L'écriture, comme elle me transforme. Comme elle me transforme.
Il y a disponible ce bel interview de Julia Cameron, sur radio Santa Fé, la ville où elle habite et où nous avons séjourné en famille lorsque j'avais 15 ans. Elle y parle d'un livre qu'elle est en train d'écrire, sur les listening tools... Can't wait to read her new book, je ferai peut-être bien à l'occasion de sa sortie une entorse à mon "un an sans acheter de livre". Pour l'instant, je ne m'en sors pas trop mal. Je suis très heureuse de lire enfin TOUS les livres qui m'attendent depuis des lustres. En ce moment, The English Patient. Une merveille d'intensité, de singularité, de poésie. La continence me fait du bien.
Il y a, disponible, le prochain Bootcamp Batterie Nouvelle, Trouver son ikigai; les 25 et 26 mai. Puis les suivants, les 12 et 13 octobre (Permis d'écrire) et 23 et 24 novembre (Passer du rêve à l'action).
Mes chéries-chéris, je vous embrasse. Ecrire ici m'a calmée, a aidé les particules d'excitation à retomber tranquillement...
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