Merci la fatigue qui met à terre mes barrières ; qui me force à avouer "ce que je veux le plus au monde, aujourd'hui, c'est vivre de mon travail" ; qui crie à travers moi "j'ai besoin d'aide !".
Merci la fatigue qui m'ôte la force et me montre combien d'habitude je mens, combien je fais la fière, celle qui n'a besoin de personne. La fatigue m'explique combien j'ai tort de faire la pose.
Merci la fragilité qui fait venir les larmes au moment le moins attendu, larmes fulgurances de moi vers l'autre.
Fatigue, et larmes, et fragilité, me relient à mes frères de peine.
Pleurer fait du bien. N'oublie pas , l'eau salée guérit tout.
Tendres baisers Christie.
Rédigé par : Cenina | mercredi 26 août 2015 à 15:14
douces pensées
et je ne trouve pas que vous faites la fière, jamais
je vous trouve très humaine
Rédigé par : sylvie kapal | mercredi 26 août 2015 à 21:25