Les semaines où j'ai moins les enfants
J'en profite pour
Ramasser les feuilles du jardin
Trier les vêtements et donner ceux que plus personne ne porte
Faire de grands trajets à vélo et presque m'envoler avec le vent qu'il y a
Boire l'apéro avec ma copine elle aussi sans enfants
Et rentrer tranquillement chez moi sans regarder l'heure
Je raconte mes journées aux filles
Qui sont mi-rassurées, mi-vexées, de voir comme je me débrouille bien sans elles.
(Le contrepoint de cette liberté c'est le ventre, le gouffre vertigineux de leurs chambres Les semaines où j'ai moins les enfants
J'en profite pour
Ramasser les feuilles du jardin
Trier les vêtements et donner ceux que plus personne ne porte
Faire de grands trajets à vélo et presque m'envoler avec le vent qu'il y a
Boire l'apéro avec ma copine elle aussi sans enfants
Et rentrer tranquillement chez moi sans regarder l'heure
Je raconte mes journées aux filles
Qui sont mi-rassurées, mi-vexées, de voir comme je me débrouille bien sans elles.
(Le contrepoint de la liberté c'est le ventre vide, le gouffre de leurs chambres inhabitées).
Ah j'aime ces "pauses", ces changements de rythme ! J'ai l'impression de faire beaucoup de choses et de pouvoir enfin faire des choses qui trainent depuis longtemps... ça me remet sur pied quand je suis fatigué ;-)
Rédigé par : Alexandra | mercredi 22 octobre 2014 à 11:25