* Le week-end dernier il y avait ce temps magnifique ET il y avait le Bootcamp.
* Cette semaine, j'étais invitée chez mon amie qui a une maison dans le Sud, avec une autre amie à marcher vers Saint Jacques, ET c'est la dernière semaine où Nicolas est à Paris avant un long voyage.
* Hier soir, on est rentrés après 6 h de voyage pour s'apercevoir que les clés étaient restées en Bourgogne. Allé hop un petit aller-retour dans le 18ème arrondissement chez notre travautier qui (ouf) avait gardé un jeu de nos clés.
Embrasser le moment. Tous ses possibles, toutes ses chances. J'ai envie de nature, de liberté... et c'est génial de pouvoir être 4 jours à ParisMalakoffre, avec de beaux projets, des idées qui germent, des rendez-vous avec mes copines et ma coach, au printemps, avec mon Nico le soir, tandis que les bichettes sont en vacances en Bourgogne !
Comme me parle, dans la Bible, l'histoire des femmes transformées en statues de sel alors qu'elles se retournent en arrière, endolories de quitter leur cité qui va être détruite. Ces femmes à qui on a offert le salut d'une nouvelle vie et ne peuvent se résoudre à avancer vers ce qui vient.
Le regard sur ce qui aurait pu être nous détourne de ce qui est.
Nostalgie, regrets, vous n'aurez pas ma peau ! I choose to seize the day.
Oh yeah! Trop belle Christie. Ce post tombe à pic wahou merci merci et encore MERCI.
Rédigé par : valentine | lundi 14 avril 2014 à 12:36
hé hé, salut ma belle Valentine ! avec plaisir...
Rédigé par : Christie | lundi 14 avril 2014 à 12:48
Smack
Rédigé par : Cenina | lundi 14 avril 2014 à 14:42
En te lisant Christie, je pense à ces amis réfugiées irakiennes chrétiennes, arrivées en France avec maris et enfants après avoir fui Mossoul ou Bagdad. Quel a été leur dernier regard sur ce qu'elles quittaient? Se sont-elles retournées, comme dans la Bible, ou ont-elles regardé fixement cet avion qui leur promettait un pays dont elles ne connaissaient ni la langue, ni la culture, ni rien? "Le regard sur ce qui aurait pu être (la mort dans un attentat, l'enlèvement contre rançon, ou pas) nous détourne de ce qui est (la vie plus sûre, le déclassement social, ou pas)".
Rédigé par : Nat | lundi 14 avril 2014 à 15:39
et l'amertume de l'exil...
Rédigé par : Christie | lundi 14 avril 2014 à 15:45
J'aime beaucoup "Le regard sur ce qui aurait pu être nous détourne de ce qui est"...je vais en faire mon motto ces jours-ci ! Il arrive à point nommé pour moi :-) Merci Christie et belle journée.
Rédigé par : Anne | mardi 15 avril 2014 à 16:02
Le regard sur ce qui aurait pu être nous détourne de ce qui est... moi aussi je vais en faire mon motto ces jours!
Rédigé par : Titoune | mercredi 16 avril 2014 à 16:54