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jeudi 29 mars 2012

Commentaires

Amandine

C'est drôle cette référence à Shonagun. J'ai lu il y a quelques semaines un roman un peu étrange dans son genre "inclassable" et justement des citations des Notes de chevet tenaient lieu de début de chapitres.
L'image de l'accidenté me parle en ce moment. Des décisions se prennent, qui vont bouleverser pas mal de choses. Avec à la fois la peur, mais aussi l'envie de tourner la page. Ces périodes de transition ne sont jamais "légèreté" mais elles sont nécessaires pour se remettre en accord avec soi-même, pour se raccorder aux promesses qu'on se doit de se tenir.

Titoune

Aïe aïe aïe, je plains ta maman si tu parlais autant que tu l'as raconté une fois ou l'autre, et que tu as commencé à 6 mois... ils devaient être contents quand tu dormais tes parents, enfin le droit d'en placer une! ;-)

hélène

Je te lis sans commenter depuis longtemps. Et depuis longtemps aussi je ressens souvent un sentiment de dispersion. En fait, te lire parfois « m’épuise »..
N’es tu pas en train de saturer ?
Après quoi cours-tu ?
Au nom de quoi me permets-je de te dire cela, après tout je n’en sais rien, « juste une sensation » comme dirait l’autre...
Moins de chose mais mieux, plus de temps, de cohérence. Ce ressenti très fort que j’ai à te lire est peut être totalement erroné.
Je t’en demande alors pardon.

Christie

merci Pascale pour cette trace de mon passage ! l'ordre ce n'est pas mon fort non plus...

Cenina

merci pour ces références de bouquins, un jour, j'ai cherché dans tes écrits celui de Barthes dont tu parles si bien, il m'appelle..

Christie

tu m'étonnes, c'est un chef d'oeuvre !

laure

ton blog c'est comme sentir une fleur, ça a l'air de rien mais ça fait tout. Je n'arrive pas à m'arrêter de lire.... Les livres sont comme des bouées en ce moment où je me sens si souvent perdue dans l'océan. Je me disperse totalement, ne sais pas où je vais....mais est-ce que c'est vraiment grave (je suis en train de découvrir que peut-être non.....). Pas confortable certes. J'ai pensé récemment au comte de peau d'âne.... loin du trauma de l'inceste, le roi aurait l'image pour moi d'une forme de "pression sociale" ou de "conformisme" et je ne lui ai pas encore demandé de tuer l'âne aux pièces d'or....

Christie

Moi le papillonnage ça m'aide beaucoup ! et puis au bout d'un moment je me recentre...

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