Le regard hagard
de la (dé)raison
égaré(e)
La douleur vrille
lamine ainsi
et scie
la volonté
la conscience
l'être.
Il est mort
mais la vie
qui refuse
de se rendre
ne nous le rend pas.
Gilda
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euh, ça méritait p'têt pas tant d'honneur ?
dans le fond, merci pour celui dont la souffrance m'a fait sortir ces mots (à défaut de pouvoir la soulager).
en attendant je me promets que les prochains haïkus publics que je vous enverrai, ce sera des joyeux (enfin, j'espère ; décide-t-on vraiment ?)
Rédigé par : gilda | mercredi 25 août 2004 à 20:22
coucou, ce n'est pas ici le blog des enfants joyeux.. j'essaie de retranscrire des émotions au plus juste, ce que vos haïkus font aussi
merci..
Rédigé par : sans moi, toujours prête à vous faire une tite place | mercredi 25 août 2004 à 21:51